S’il existe un produit succulent, gargantuesque et pantagruélique qui répond à la plus sage des rusticités, c’est bien le zampone. Il s’agit d’une reconstruction d’un jambon de porc, désossé, ne comprenant que quatre os des sabots qui viennent donner plus de réalité à l’extrémité du cochon, et recouvert de la peau gélatineuse naturelle. Il est fait de viandes maigres pourvues de graisse, hachées en morceaux à mâcher. Sur le plan gastronomique, on remarquera son caractère gélatineux, exubérant ; sa note juteuse, épatante ; sa saveur, gourmande ; et son arôme, riche et équilibré tant au niveau des herbes que du poivre.

La préparation requiert une cuisson de 30 minutes à l’intérieur du sachet dans lequel il est présenté. Pour que la peau gélatineuse qui enveloppe les viandes soit croquante, nous recommandons ensuite de le faire gratiner en veillant à le faire tourner afin d’obtenir une coloration et une touche croquante uniformes sur toute la partie externe.

Il est typiquement dégusté en hiver, notamment lors du nouvel an, en accompagnement des lentilles, traditionnellement consommées à cette occasion.

Il s’agit de l’ancienne marque prestigieuse Flor de Saúco qui, pour des raisons légales, a dû changer de nom.

Cette coopérative commercialise environ 130 tonnes de pois chiches d’appellation contrôlée provenant de la fameuse région de Zamora.

Trois qualités les rendent uniques : leur peau, pratiquement imperceptible, est la plus fine que ce légume puisse avoir ; leur texture, moelleuse et consistante à la fois, fond placidement en bouche sans opposer la moindre résistance ; leur saveur, d’une exquisité très particulière, les rend uniques.

Avant la cuisson, ils sont de moyenne/grande taille, d’une couleur crémeuse ; leur extrémité, courbée, est prononcée et leur peau est rugueuse.

Il s’agit de l’un de ces produits artisanaux issus des traditions et de la noblesse ancestrales. Il est élaboré à partir de langues de vaches fassone, la race bovine piémontaise, dont toute la richesse naturelle s’exprime à travers la maturité de la chair et la concentration de gras. La combinaison de ces deux facteurs est synonyme de succulence, de caractère gélatineux et juteux. Saveur intense et chair fondante, due à la quantité de veines, à l’aspect « marbré » du maigre, semblable à celui d’un éminent filet de vieux bovin. Sans oublier le ton rougeâtre et uniforme du produit. Nous sommes donc en présence d’une bouchée de charcuterie de toute haute catégorie, sustentée par des animaux d’exception. Notons la production annuelle symbolique de Maurilio Baudracco: entre 350 et 400 kilos. La technique d’élaboration est également exemplaire. La langue est plongée dans du sel pendant un mois et massée à la main une fois par semaine. Au bout de cette période, elle est dessalée dans de l’eau pendant 24 heures, puis cuite à basse température pendant 3 heures. On la laisse refroidir, puis reposer pendant 10 jours.
Une langue mondialement unique en son genre.

C’est de loin le nº1 des filets de porc ibérique nourri aux glands d’Espagne. Il est caractérisé par la légèreté de son fumet et de sa touche de paprika, qui rehaussent le goût de la viande de manière réellement exceptionnelle. Autre élément de valeur : sa texture. Malgré le séchage (6 mois), il demeure juteux et tendre, ce qui le rend facile à mâcher. Au niveau du palais, il provoque une explosion de substantialité, le gras abondant se fondant avec la saveur du maigre, jusqu’à saturation, sans limite. Son parfum, exubérant, contribue également à tomber dans cette exquise tentation.
Son intensité gustative nous suggère de le couper finement.
Il est commercialisé à raison d’environ 25.000 pièces par an.