Une huile sicilienne d’olives cultivées juste à côté de l’Etna, à une altitude considérable (650-980 mètres) par un personnage incroyable : Frank Cornelissen, un écologiste belge marié à une Japonaise. Pour élaborer ce condiment, il utilise les variétés Brandolfina, Nocellara dell’Etna, Pendolino, Frantoiana, Coratina et San Benedetto, toutes récoltées à la main et traitées selon une méthode d’extraction ancestrale, à la pierre et à la presse.
En bouche, elle s’avère fragrante, reflétant toute la splendeur du jus des olives, affichant une personnalité différente, fruit du coupage des variétés et de l’altitude à laquelle elles vivent. Son caractère nettement huileux, très noble, laisse apparaître des notes amères et piquantes qui s’expriment modérément au palais, sans excès.

Pierre Hermé est un numéro un mondial. Après avoir triomphé au sein des meilleures pâtisseries, il dicte son message dans ses deux établissements, passages gastronomiques obligés – notamment le premier – et à travers ses livres exceptionnels. Quoi qu’il fasse, il attire l’attention. Perfection, génie ou génie parfait ? Parmi l’infinité de délices qu’il propose, nous pointerons ses fameux macarons, qui se distinguent en raison de l’originalité de leur consistance, de leur densité, de leur fragrance et de leur saveur. Qualitativement parlant, ils vont du 8,5 au 9,75/10. S’il fallait choisir, parmi les classiques, nous pencherions pour celui au café et caramel à la fleur de sel. Parmi les plus innovants et sophistiqués, nous opterions pour Isaphan (biscuit macaron, crème de litchis à la rose et compote à la framboise) et Jasmin (biscuit macaron, crème à la fleur de jasmin et thé au jasmin). Ces derniers recèlent une texture extérieure très subtile, fragile, qui ne donne pas la moindre sensation de rupture, et fait place à une autre structure inconsistante, éthérée, vaporeuse… magique. La quintessence du raffinement tactile, aromatique et gustatif.

Le meilleur de l’asperge, la pointe et la zone adjacente, soit environ un tiers de la pièce. Couleur ivoire, grosseur moyenne-élevée, calibre 8-12, sans excès susceptibles d’affecter leur texture ou leur saveur. Faisant l’objet d’une découpe nette au couteau, elles s’avèrent crémeuses, consistantes, quasi al dente. Un goût naturel époustouflant du légume frais – qui n’a rien à voir avec celui du produit en conserve –, doté de touches terreuses, douces et amères, à peine citriques, extrêmement délicates.

Un bonbon piémontais d’envergure universelle. En plus des ingrédients typiques, il est également élaboré à base de noisettes et de vin de la région, issu du prestigieux domaine Ceretto ; des éléments qui lui confèrent toute sa personnalité.
On remarquera tout d’abord sa beauté, d’une élégance sobre impressionnante, puis la richesse de ses textures : diverses consistances pertinentes, crémeuses, progressives et complémentaires. Et enfin, la saveur, exquise, éminente, du chocolat noble, assortie de la présence du fruit sec, de la vanille et du Barolo, qui vient renforcer l’astringence caractéristique du cacao, exprimée en toute subtilité. Une alliance aigre-douce parfaite. Bref, un bonbon extrêmement raffiné doté d’une originalité sensée.
Commercialisé en paquets de 70 grammes qui contiennent 9 unités.