Élaboré à base de lait cru, il s’avère d’une qualité extrême. Quelle concentration ! Personne ne dirait qu’il s’agit d’une réduction. Crémeux, substantiel, on le mâche telle une quintessence lactée caprine. Une toute grande noblesse consacrée en une saveur immaculée harmonieuse qui ne permet d’apprécier que la matière première, empreinte des pâturages, d’un arrière-goût de terroir, incommensurable, éminente, exceptionnelle, travaillée à la perfection. Une pâte ivoire rayonnante, ferme et souple à la fois, effectivement moelleuse. Croûte fine. Forme typique de pyramide tronquée, superbe.

Lauréat d’innombrables médailles d’or et d’argent dans le cadre de concours de grand prestige.

Le meilleur chorizo du monde, unique en son genre, à des années lumière des autres, y compris la fameuse cuisse de Joselito. Par rapport à cette dernière, que l’on peut considérer comme la version traditionnelle, il représente une mise à jour palatale sociologique faisant appel à la même matière première et aux mêmes condiments. La seule différence, c’est le vieillissement, moindre (3 mois), qui engendre une saveur plus fraîche et délicate ainsi qu’une texture plus tendre et plus juteuse, rehaussée également par le piquant, deux fois plus présent que dans le chorizo. Le paprika, l’ail … les condiments passent au second plan, au service de l’ingrédient principal, le cochon, dont la chair dégage une grande noblesse, propre aux porcs ibériques nourris aux glands, caractérisés par un parfait équilibre entre le maigre et le gras. Une chair beaucoup plus délicate, potelée, moelleuse, et donc plus facile à savourer.

La production annuelle d’environ 6.000 kilos est écoulée dans quelques boutiques gastronomiques spécialisées.

Sur la boîte qui le protège, la mention « Le roi du gâteau basque » dit tout. Celui qui s’en vante a bien raison : c’est le meilleur, et de loin. Ce gâteau, généralement dense, compact, primaire, gourmand… – à quelques exceptions près – a été raffiné et allégé de manière incroyable tout en conservant son idiosyncrasie. Un goût délicieux malgré une conception ancestrale. Le secret réside probablement au niveau du beurre. Et de l’équilibre des saveurs. Et de l’exquisité qu’il dégage. Et de la douceur dont il fait preuve, pas du tout écœurante. Et des arômes, qui évoquent la vanille. Certains lui ont trouvé des fragrances d’amandes, bien que l’étiquette n’en mentionne pas la présence. Au niveau de la crème, aussi, qui, aussi incroyable cela puisse-t-il paraître, est tout à fait onctueuse. Le gâteau basque « sybaritisé », en quelque sorte !

Un sel marin provenant de l’île de Ré, très original, au design élaboré, très différent de tout ce que l’on trouve sur le marché. Il a été conçu par le prestigieux Pascal Belbeck de Château Belair, Premier Grand Cru Classé de Saint-Émilion. Il a une couleur grenat, dérivé du vin rouge, dont il s’est imprégné, qui lui confère un goût et des arômes très particuliers où prévalent les touches d’épices comme le clou de girofle et le poivre. Il est présenté sous forme de petits rubis croquants, d’une forme et d’une tonalité idéales pour une utilisation à cru ou pour renforcer le charme de mets chromatiques. Un petit détail, un soupçon de sophistication qui offre un large éventail de possibilités pour l’assaisonnement de poissons, de viandes et, surtout, des préparations de haute cuisine.

Commercialisé aux arômes de merlot, de cabernet sauvignon et de syrah.